Piano – Jean-Michel Pilc
Basse – Thomas Bramerie
Batterie – Ari Hoenig (pistes : 1 à 6, 9, 14, 15), Mark Mondesir (pistes : 7, 10 à 13)
Crédits
Illustration – SANYU
Mastered By – Benjamin Joubert, René Ameline
Mixé par – René Ameline
Producteur – Francis Dreyfus
Enregistré les 9, 10 et 11 octobre 2006 au Studio Ferber, Paris.
Mixte le 23 octobre 2006.
Date de sortie : 2007
Label : Dreyfus Jazz
Critique
Les quatre enregistrements précédents de Jean-Michel Pilc chez Dreyfus, ainsi que son apparition sur le DVD d’Ari Hoenig Kinetic Hues : Live at Fat Cat d’Ari Hoenig, l’ont identifié comme un pianiste aux capacités féroces, à l’imagination débordante et à l’approche sauvagement imprévisible du rythme et de la dynamique.
Ces qualités sont présentes, à profusion, sur le nouvel album en trio de Pilc avec le bassiste Thomas Bramerie et Mark Mondesir ou Ari Hoenig à la batterie. New Dreams révèle que Pilc est aussi un compositeur de fraîcheur et de profondeur. La plupart des compositions originales ont pour thème la nature et commencent généralement par un nœud, comme un joyau, une simple impulsion de lyrisme en quelques notes. Pilc l’improvisateur les fixe ensuite par des répétitions incantatoires (« The Meadow », « The Brook »), les transforme par des variations subtiles (« Trees Part I ») ou les étend bien au-delà d’eux-mêmes dans des flux de notes uniques (le morceau-titre).
Mais pour ceux qui ne connaissent pas Pilc, c’est par l’un des standards qu’il faut commencer à découvrir New Dreams. C’est le moyen le plus rapide de comprendre les contrastes saisissants de tonalité et de motif que Pilc peut façonner en une seule performance. Les vastes architectures que Pilc érige autour de « But Not For Me » et « Straight, No Chaser » sont ironiquement irrévérencieuses et techniquement stupéfiantes. ~ Par Thomas Conrad, 1er novembre 2007 Jazz Times
« Une boîte à musique extraordinaire. Chaque chanson est une exploration, une découverte ».
Laurel Gross – Tout sur le jazz
« Des idées délectables à n’en plus finir, souvent inattendues et pourtant tout à fait logiques ».
Don Williamson – Revue de jazz